La forme générale est une silhouette de caudale de baleine à bosse dressée verticalement à la surface des océans lors d’un événement appelé « breaching » par les anglo-saxons, c’est à dire le moment ou la baleine se propulse entièrement ou partiellement hors de l’eau.

Cette œuvre joue subtilement sur les notions de plein et de vide, de permanence et d’impermanence, de présence et d’absence, comme une dualité Yin-Yang chère à la philosophie orientale.

La sculpture est un empilement de tranches verticales séparées par des entretoises du même matériau. L’épaisseur des tranches et de l’espacement peut changer suivant le matériau utilisé et l’effet recherché. 

Sous certains angles, la sculpture ne laisse apercevoir que l’épaisseur des tranches et semble se dissoudre dans son environnement. À contrario, dans un angle perpendiculaire au précédent, l’empilement des strates laisse une impression de masse et offre la forme complète de l’œuvre au spectateur.

Matériaux envisagés : Verre, Plexiglass, Acier Corten, Bronze d’Art, Acier inoxydable poli ou brossé, Acier thermolaqué, Aluminium.

Avec le bronze, nous rentrons dans l’univers des œuvres d’art intemporelles. Ce sont de véritables sculptures qui traversent les siècles et se patinent avec le temps. Le changement de standing est notable tant pour le prescripteur que pour le public.

Avec le verre, l’acier inox, l’acier Corten ou l’acier laqué, la touche contemporaine est notable. Ces sculptures monumentales peuvent ainsi s’inscrire dans des projets architecturaux ultra-modernes.